- Sévaré et Diabali sont consolidés, côté français, tandis qu'à Bamako, une compagnie du 3ème RIMa de Vannes sécurise l'aéroport. Les frappes continuent sur le nord (notamment à Gao et Ansongo, à 80 km plus au nord) et le Groupe aéromobile déploie des éléments à Mopti et Diabali. Le transport de nouvelles unités continue via la Marine Nationale et les avions de transport tactique, dont désormais un C-17 américain. Plus de 2300 soldats français sont engagés sur le terrain dans l'opération Serval.
- le Groupement Tactique Interarmes (GTIA) français se divise désormais en trois sous-groupements. Les deux premiers sont engagés à Sévaré et Diabali, respectivement, mais n'ont pas rencontré d'opposition pour le moment. Quelques éléments stationnent aussi à Markala. Le dernier sous-groupement est à Bamako mais est désormais libéré par l'arrivée de la compagnie du 3ème RIMa.
- manoeuvre tactique d'Ansar Eddine que la formation d'un Mouvement Islamique de l'Azawad soi-disant prêt à ouvrir des négociations ? Il semblerait.
- André Bourgeot, directeur de recherches au CNRS et spécialiste du Sahel, est pessimiste, pour le moment, sur la dimension politique du conflit au Mali, qui reste éclipsée par l'intervention militaire française. Tout est à reconstruire...
- enfin, on avait prévenu, l'armée malienne semble commettre de plus en plus d'exécutions sommaires, particulièrementà Sévaré. Le climat est particulièrement malsain, d'autant plus qu'aujourd'hui encore, l'armée malienne annonce avoir arrêté des combattants adverses.
- le Groupement Tactique Interarmes (GTIA) français se divise désormais en trois sous-groupements. Les deux premiers sont engagés à Sévaré et Diabali, respectivement, mais n'ont pas rencontré d'opposition pour le moment. Quelques éléments stationnent aussi à Markala. Le dernier sous-groupement est à Bamako mais est désormais libéré par l'arrivée de la compagnie du 3ème RIMa.
- manoeuvre tactique d'Ansar Eddine que la formation d'un Mouvement Islamique de l'Azawad soi-disant prêt à ouvrir des négociations ? Il semblerait.
- André Bourgeot, directeur de recherches au CNRS et spécialiste du Sahel, est pessimiste, pour le moment, sur la dimension politique du conflit au Mali, qui reste éclipsée par l'intervention militaire française. Tout est à reconstruire...
- enfin, on avait prévenu, l'armée malienne semble commettre de plus en plus d'exécutions sommaires, particulièrementà Sévaré. Le climat est particulièrement malsain, d'autant plus qu'aujourd'hui encore, l'armée malienne annonce avoir arrêté des combattants adverses.